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Rababe_GhPr VIP
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Localisation : Algérie
L'identification
Mer 10 Juil - 6:13
L’IDENTIFICATION
I DEFINITION
Identifier une personne, c’est la reconnaître c'est-à-dire acquérir par la comparaison d’indices recueillis sur elle, avec des renseignement antérieurement, la certitude de l’identité de cette personne.
Bref « c’est l’ensemble des moyens destinés a rendre a un individu son identité ».
Pour un individu vivant, la connaissance des empreintes digitales rend aisée la solution du problème.
Par contre sur un cadavre, s’il est encore possible de relever les empreintes digitales quand la mort est récente ceci n’est plus faisable lorsque le décès est lointain ou lorsque le corps est calciné (accident d’aviation…etc) ou lorsqu’un meurtrier a mis le feu a sa victime.
En dehors de la volonté affective des familles de reconnaître les leurs, afin de les réunir dans une sépulture familiale, il existe aussi des motivations légales.
II IDENTIFICATION COLLECTIVE
L’identification peut être collective dans les grandes catastrophes (Guerres, tremblements de terre, incendies, inondation. etc)
II.A. MOYENS GENERAUX HABITUELS D’IDENTIFICATION
Que l’identification soit anté-mortem ou post-mortem, plusieurs méthodes peuvent se compléter, se superposer pour déterminer une somme d’éléments permettant cette identification.
• Signalement.
• Les caractères faciaux.
• Caractères onthropometriques.
• Dactyloscopie.
• Objets personnels.
Des recherches plus sophistiquées ont été envisagées par certains, comme l’étude des pores de la peau -sillons des ongles- veines superficielles.
Une mention faite pour une technique mise au point par RENAUD-SUZUKI qui concerne la cheiloscopie.
Dans certains cas particuliers le légiste peut avoir besoin d’une étude ostéologique, d’une observation des articulations, des synostoses enfin des examens d'analyses sérologiques, histologiques sauf pour les dernières techniques, la valeur de l’identification peut être faussée car elle est liée a l’interprétation personnelle, aux erreurs de transcription et administratives.
C’est l état de l’individu sur lequel sont faites les observations qui va guider le choix de celle-ci.
Il est bien évident qu’un individu vivant, ou un cadavre frais est plus facile a examiner qu’un cadavre ancien surtout si l’état de décomposition ou de mutilation est importante.
Dans les cas extrêmes : destruction très importante, décapitation, mutilation c’est alors qu’intervient l’identification par les dents, ce sont les os, les dents , les appareillages dentaires qui résistent le mieux aux agents destructeurs chimiques, physiques ou biologiques. D’où donc l’intérêt des moyens odontologiques d’investigations.
Il semble que ce soit VALDES le premier en 1898 ait fait mention de l’odontologie en médecine légale, bien que des anecdotes fassent remonter très loin l’identification des cadavres par l’étude des arcades dentaires.
II.B. MOYENS ODONTOLOGIQUES ET STOMATOLOGIQUES D’INVESTIGATION
Quand on parle d’organes dentaires on doit lui adjoindre les matériaux aussi bien pour les soins dentaires purs que pour les soins prothétiques, ces matériaux comme les dents ont un comportement différentiel devant les agressions.
Pour les dents proprement dites, un autre paramètre influence la conservation; c’est l’étude de la minéralisation, un germe fœtal disparaît plus rapidement qu’une dent de vieillard très minéralisée.
Pour les matériaux, c’est la résistance à la fusion et leurs caractères réfractaires qui favorise ou non leur maintenance.
II.B.a. L’EXAMEN CLINIQUE CLASSIQUE DES ARCADES DENTAIRES
C’est un examen facile qui peut être réalisé par n’importe qui, avec les moyens simples sous forme d’un tableau ; elle est présentée sous forme de numérotation.
II.B.b. LE MARQUAGE DES PROTHESES
Il a été proposé depuis longtemps et par différentes méthodes (CARLSEN en 1930 déjà).
Les prothèses peuvent être marquées par plaque métallique incorporée ou par gravure.
II.B.c. RECHERCHE DES PARTICULARITES ODONTOLOGIQUES
II.B.d. LA FICHE
L’organisation internationale de police criminelle ou INTERPOL a mis au point un schéma type qu’elle a appelé « odontogramme » et qui figure sur son « formulaire pour l’identification des victimes des grandes catastrophes ».
II.B.e. LES EXAMENS RADIOLOGIQUES
Les examens complémentaires ne se servent qu’à compléter les indices ou à être comparés a des clichés préexistants.
Différents indices sont a notre disposition : Incidences peri-apical, mordu, défilée, orthopantomogramme, téléradiographie.etc.
Pour le cadavre qu’il n’est pas possible de déplacer , ni d’ouvrir la bouche , on utilise une technique spéciale qui consiste soit a entrouvrir la bouche, soit a passer par la béance d’une dent absente pour introduire, au milieu de la cavité buccale une tige portant a son extrémité une source Radioactive( isotope) et le film est placé a l’extérieur sur la peau est impressionné et lors de l’autopsie, les maxillaires et la mandibule sont désarticulées et il sera possible de pratiquer les clichés intra-oraux.
Les renseignements donnés sont de plusieurs ordres:
• Existence de dents incluses, obturations.
• Instruments cassés, kystes.
• Dépassements, pivots…etc
• Corps étrangers, plaque vissée, implants.
II.B.f. LE RELIEF DES VOUTES PALATINES
Les empreintes palatines pourraient être utilisées comme empreintes digitales, mais le pourcentage de certitude est inférieur.
Néanmoins dans un cadavre ou il manque les mains par exemple, ce moyen prend une forme relativement importante.
II.B.g. LE MOULAGE EN PLATRE
II.B.h. LA CARTE D’IDENTITE DENTAIRE
La création de cette carte revient a BONNAFAUX partisan de l’identification des individus par le schéma dentaire.
Il préconise l’établissement d’une carte d’identité dentaire obligatoire pour les militaires, les services de l’identification judiciaire, elle est par contre facultative pour toute personne civile qui en fera la demande (sous forme de carte perforée ou sous forme informatique).
On a deux inconvenients à l’utilisation d’une telle carte d’identité.
• D'abord l’astreinte du praticien et du patient à mettre a jour.
• Encombrement (02 feuillets).
III IDENTIFICATION CONSTRUCTIVE
C'est-à-dire partant d’une tête, soit d’un maxillaire, soit de plusieurs dents, l’expert doit donner le maximum de renseignement sur les pièces anatomiques qui lui sont remises.
III.A. L’ESPECE
Dents isolées, c'est une dent animale ou humaine il peut parfois être très facile de confondre dents humaine et celle d’un singe anthropoïde (chimpanzé-gorille…etc).
Seules les prémolaires et le molaires, différentes par la longueur totale de leur couronnes plus basses, et leurs sillons plus développés, tandis que pour le chat , les dents sont trop petites.
Le chien peut donner lieu à de différentes situations s’il est grand de taille( les incisives sont courtes et plates).
La chèvre et le mouton ont des incisives antérieures qui peuvent rappeler celles de l’homme.
Le porc cheval bœuf ont des dents facilement reconnaissables .Dans les cas litigieux il serait nécessaires de faire appel a un expert en anatomie comparative ou a un histologique.
III.B. L’ESPECE
- Lorsque le corps est entier, l’étude du pelvis et du squelette en général permet de faire le point.
- Par contre, lorsque les dents subsistent, il est impossible de le dire avec certitude.
En général, les incisives centrales supérieures sont plus grandes chez l’homme.
III.C. LA RACE
Aucune certitude même du crâne (Tableau de KROGMAN).
Il retrace les caractères cranio-faciaux des 3 principales races humaines :
• Caucasiens.
• Négroïdes.
• Mongoloïdes.
III.D. L’AGE
Il est relativement aisé d’apprécier l’âge avec une bonne approximation en se basant sur les renseignements donnés par l’embryologie.
Le développement de l’organe dentaire, la formation d’email ou de dentine, les stades de bourgeons, coiffe, cloche définissent bien les périodes de vie.
De la naissance à 13-14 ans, l’état de calcification-évolution des dents permanentes, l’éruption de certaines dents, l’avancement de la fermeture des apex sont des données assez précises.
Des variations individuelles s’observent sous l’influence de troubles de croissance, nutrition…etc
Chez l’adulte, le problème est plus complexe, les statistiques sur un seul point : Usure des faces occlusales, résorption radiculaire. etc.
GUSTAFON a imaginé une technique qui a comme paramètres :
• Usure des faces occlusales par la mastication.
• La parodontose.
• Denture secondaire.
• Apparition cémentaire.
• Transparence des racines.
• Résorption radiculaire.
Des coefficients de 0-1-2-3 ont été affectés en fonction du vieillissement, la somme des coefficients réparties sur une ligne de valeur donne l'âge approximatif.
III.E. LE NIVEAU DE VIE
L’hygiène buccale, les soins effectués sur les dents ne sont pas des élèments sûrs, cependant dans les cas de couronnes Auro-ceramique, bridge complet, on peut estimer avoir affaire a une personne aisée.
III.F. LA PROFESSION
Certaines professions mènent à des lésions dentaires spéciales (Les verriers, les musiciens, les dessinateurs avec leurs crayons, les agents de police avec leur sifflet).
Présence de tartre, de déchets, poussière bien spécifique constituent des indices de profession (Fragment de ciment, de porcelaine, coton laine…etc).
III.G. PARTICULARITES CULTURELLES
Caractéristiques d’un groupe ethnique donné : on y trouve des mutilations.
IV CONCLUSION
Nous terminons : en disant que la criminalistique fait appel a l’identification par les dents de manière de plus en plus fréquente.
L’intérêt que porte a cette méthode l’organisation de l’INTERPOL, l’odontologie légale bien que très ancienne doit s’adapter aux nouvelles données de la science et de la technologie, l’odontologiste apporteur d’aide non négligeable a l’identification comme le médecin, l’anthropologue le policier ou le simple témoin.
Les pouvoir publics pourraient rendre obligatoire la carte d’identité pour les utilisateurs de certains transports et les individus exerçant un métier a haut risque( armée) en attendant qu’elle soit généralisée.
I DEFINITION
Identifier une personne, c’est la reconnaître c'est-à-dire acquérir par la comparaison d’indices recueillis sur elle, avec des renseignement antérieurement, la certitude de l’identité de cette personne.
Bref « c’est l’ensemble des moyens destinés a rendre a un individu son identité ».
Pour un individu vivant, la connaissance des empreintes digitales rend aisée la solution du problème.
Par contre sur un cadavre, s’il est encore possible de relever les empreintes digitales quand la mort est récente ceci n’est plus faisable lorsque le décès est lointain ou lorsque le corps est calciné (accident d’aviation…etc) ou lorsqu’un meurtrier a mis le feu a sa victime.
En dehors de la volonté affective des familles de reconnaître les leurs, afin de les réunir dans une sépulture familiale, il existe aussi des motivations légales.
II IDENTIFICATION COLLECTIVE
L’identification peut être collective dans les grandes catastrophes (Guerres, tremblements de terre, incendies, inondation. etc)
II.A. MOYENS GENERAUX HABITUELS D’IDENTIFICATION
Que l’identification soit anté-mortem ou post-mortem, plusieurs méthodes peuvent se compléter, se superposer pour déterminer une somme d’éléments permettant cette identification.
• Signalement.
• Les caractères faciaux.
• Caractères onthropometriques.
• Dactyloscopie.
• Objets personnels.
Des recherches plus sophistiquées ont été envisagées par certains, comme l’étude des pores de la peau -sillons des ongles- veines superficielles.
Une mention faite pour une technique mise au point par RENAUD-SUZUKI qui concerne la cheiloscopie.
Dans certains cas particuliers le légiste peut avoir besoin d’une étude ostéologique, d’une observation des articulations, des synostoses enfin des examens d'analyses sérologiques, histologiques sauf pour les dernières techniques, la valeur de l’identification peut être faussée car elle est liée a l’interprétation personnelle, aux erreurs de transcription et administratives.
C’est l état de l’individu sur lequel sont faites les observations qui va guider le choix de celle-ci.
Il est bien évident qu’un individu vivant, ou un cadavre frais est plus facile a examiner qu’un cadavre ancien surtout si l’état de décomposition ou de mutilation est importante.
Dans les cas extrêmes : destruction très importante, décapitation, mutilation c’est alors qu’intervient l’identification par les dents, ce sont les os, les dents , les appareillages dentaires qui résistent le mieux aux agents destructeurs chimiques, physiques ou biologiques. D’où donc l’intérêt des moyens odontologiques d’investigations.
Il semble que ce soit VALDES le premier en 1898 ait fait mention de l’odontologie en médecine légale, bien que des anecdotes fassent remonter très loin l’identification des cadavres par l’étude des arcades dentaires.
II.B. MOYENS ODONTOLOGIQUES ET STOMATOLOGIQUES D’INVESTIGATION
Quand on parle d’organes dentaires on doit lui adjoindre les matériaux aussi bien pour les soins dentaires purs que pour les soins prothétiques, ces matériaux comme les dents ont un comportement différentiel devant les agressions.
Pour les dents proprement dites, un autre paramètre influence la conservation; c’est l’étude de la minéralisation, un germe fœtal disparaît plus rapidement qu’une dent de vieillard très minéralisée.
Pour les matériaux, c’est la résistance à la fusion et leurs caractères réfractaires qui favorise ou non leur maintenance.
II.B.a. L’EXAMEN CLINIQUE CLASSIQUE DES ARCADES DENTAIRES
C’est un examen facile qui peut être réalisé par n’importe qui, avec les moyens simples sous forme d’un tableau ; elle est présentée sous forme de numérotation.
II.B.b. LE MARQUAGE DES PROTHESES
Il a été proposé depuis longtemps et par différentes méthodes (CARLSEN en 1930 déjà).
Les prothèses peuvent être marquées par plaque métallique incorporée ou par gravure.
II.B.c. RECHERCHE DES PARTICULARITES ODONTOLOGIQUES
II.B.d. LA FICHE
L’organisation internationale de police criminelle ou INTERPOL a mis au point un schéma type qu’elle a appelé « odontogramme » et qui figure sur son « formulaire pour l’identification des victimes des grandes catastrophes ».
II.B.e. LES EXAMENS RADIOLOGIQUES
Les examens complémentaires ne se servent qu’à compléter les indices ou à être comparés a des clichés préexistants.
Différents indices sont a notre disposition : Incidences peri-apical, mordu, défilée, orthopantomogramme, téléradiographie.etc.
Pour le cadavre qu’il n’est pas possible de déplacer , ni d’ouvrir la bouche , on utilise une technique spéciale qui consiste soit a entrouvrir la bouche, soit a passer par la béance d’une dent absente pour introduire, au milieu de la cavité buccale une tige portant a son extrémité une source Radioactive( isotope) et le film est placé a l’extérieur sur la peau est impressionné et lors de l’autopsie, les maxillaires et la mandibule sont désarticulées et il sera possible de pratiquer les clichés intra-oraux.
Les renseignements donnés sont de plusieurs ordres:
• Existence de dents incluses, obturations.
• Instruments cassés, kystes.
• Dépassements, pivots…etc
• Corps étrangers, plaque vissée, implants.
II.B.f. LE RELIEF DES VOUTES PALATINES
Les empreintes palatines pourraient être utilisées comme empreintes digitales, mais le pourcentage de certitude est inférieur.
Néanmoins dans un cadavre ou il manque les mains par exemple, ce moyen prend une forme relativement importante.
II.B.g. LE MOULAGE EN PLATRE
II.B.h. LA CARTE D’IDENTITE DENTAIRE
La création de cette carte revient a BONNAFAUX partisan de l’identification des individus par le schéma dentaire.
Il préconise l’établissement d’une carte d’identité dentaire obligatoire pour les militaires, les services de l’identification judiciaire, elle est par contre facultative pour toute personne civile qui en fera la demande (sous forme de carte perforée ou sous forme informatique).
On a deux inconvenients à l’utilisation d’une telle carte d’identité.
• D'abord l’astreinte du praticien et du patient à mettre a jour.
• Encombrement (02 feuillets).
III IDENTIFICATION CONSTRUCTIVE
C'est-à-dire partant d’une tête, soit d’un maxillaire, soit de plusieurs dents, l’expert doit donner le maximum de renseignement sur les pièces anatomiques qui lui sont remises.
III.A. L’ESPECE
Dents isolées, c'est une dent animale ou humaine il peut parfois être très facile de confondre dents humaine et celle d’un singe anthropoïde (chimpanzé-gorille…etc).
Seules les prémolaires et le molaires, différentes par la longueur totale de leur couronnes plus basses, et leurs sillons plus développés, tandis que pour le chat , les dents sont trop petites.
Le chien peut donner lieu à de différentes situations s’il est grand de taille( les incisives sont courtes et plates).
La chèvre et le mouton ont des incisives antérieures qui peuvent rappeler celles de l’homme.
Le porc cheval bœuf ont des dents facilement reconnaissables .Dans les cas litigieux il serait nécessaires de faire appel a un expert en anatomie comparative ou a un histologique.
III.B. L’ESPECE
- Lorsque le corps est entier, l’étude du pelvis et du squelette en général permet de faire le point.
- Par contre, lorsque les dents subsistent, il est impossible de le dire avec certitude.
En général, les incisives centrales supérieures sont plus grandes chez l’homme.
III.C. LA RACE
Aucune certitude même du crâne (Tableau de KROGMAN).
Il retrace les caractères cranio-faciaux des 3 principales races humaines :
• Caucasiens.
• Négroïdes.
• Mongoloïdes.
III.D. L’AGE
Il est relativement aisé d’apprécier l’âge avec une bonne approximation en se basant sur les renseignements donnés par l’embryologie.
Le développement de l’organe dentaire, la formation d’email ou de dentine, les stades de bourgeons, coiffe, cloche définissent bien les périodes de vie.
De la naissance à 13-14 ans, l’état de calcification-évolution des dents permanentes, l’éruption de certaines dents, l’avancement de la fermeture des apex sont des données assez précises.
Des variations individuelles s’observent sous l’influence de troubles de croissance, nutrition…etc
Chez l’adulte, le problème est plus complexe, les statistiques sur un seul point : Usure des faces occlusales, résorption radiculaire. etc.
GUSTAFON a imaginé une technique qui a comme paramètres :
• Usure des faces occlusales par la mastication.
• La parodontose.
• Denture secondaire.
• Apparition cémentaire.
• Transparence des racines.
• Résorption radiculaire.
Des coefficients de 0-1-2-3 ont été affectés en fonction du vieillissement, la somme des coefficients réparties sur une ligne de valeur donne l'âge approximatif.
III.E. LE NIVEAU DE VIE
L’hygiène buccale, les soins effectués sur les dents ne sont pas des élèments sûrs, cependant dans les cas de couronnes Auro-ceramique, bridge complet, on peut estimer avoir affaire a une personne aisée.
III.F. LA PROFESSION
Certaines professions mènent à des lésions dentaires spéciales (Les verriers, les musiciens, les dessinateurs avec leurs crayons, les agents de police avec leur sifflet).
Présence de tartre, de déchets, poussière bien spécifique constituent des indices de profession (Fragment de ciment, de porcelaine, coton laine…etc).
III.G. PARTICULARITES CULTURELLES
Caractéristiques d’un groupe ethnique donné : on y trouve des mutilations.
IV CONCLUSION
Nous terminons : en disant que la criminalistique fait appel a l’identification par les dents de manière de plus en plus fréquente.
L’intérêt que porte a cette méthode l’organisation de l’INTERPOL, l’odontologie légale bien que très ancienne doit s’adapter aux nouvelles données de la science et de la technologie, l’odontologiste apporteur d’aide non négligeable a l’identification comme le médecin, l’anthropologue le policier ou le simple témoin.
Les pouvoir publics pourraient rendre obligatoire la carte d’identité pour les utilisateurs de certains transports et les individus exerçant un métier a haut risque( armée) en attendant qu’elle soit généralisée.
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