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OMS Journée mondiale du cœur: Les maladies du cœur, un fléau mondial Empty OMS Journée mondiale du cœur: Les maladies du cœur, un fléau mondial

Mar 14 Sep - 12:19
OMS Journée mondiale du cœur: Les maladies du cœur, un fléau mondial


La Journée mondiale du cœur, organisée chaque année courant septembre, a pour but de mieux faire connaître au grand public les principaux facteurs de risque de ces maladies ainsi que les moyens de les combattre, par exemple en surveillant son poids et en faisant régulièrement de l’exercice.

OMS Journée mondiale du cœur: Les maladies du cœur, un fléau mondial Coeur-10

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les maladies cardiovasculaires –cardiopathies et accidents vasculaires cérébraux– qui font 17,1 millions de victimes chaque année, sont la première cause de mortalité dans le monde.

En partenariat avec l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), la Fédération mondiale du Cœur organise pour cette journée mondiale du cœur 2010 des activités dans plus de cent pays: bilans de santé, marches, courses et séances de fitness, conférences publiques, spectacles, réunions scientifiques, expositions, concerts, festivités et tournois sportifs.

Les maladies cardio-vasculaires constituent un ensemble de troubles affectant le cœur et les vaisseaux sanguins.

Les maladies cardio-vasculaires regroupent:
- les cardiopathies coronariennes (infarctus);
- les maladies cérébrovasculaires (accidents vasculaires cérébraux);
- l’hypertension;
- les artériopathies périphériques;
- les cardiopathies rhumatismales;
- les malformations cardiaques congénitales;
- et l’insuffisance cardiaque.
Les principales causes de maladies cardiovasculaires sont le tabagisme, le manque d’exercice physique et une mauvaise alimentation.

Après avoir constitué la première cause de mortalité, les maladies cardiovasculaires sont aujourd’hui devancées par les cancers. Elles n’en restent pas moins une priorité de santé publique. A travers le monde, le nombre de décès imputables aux maladies cardiovasculaires ne cesse d’augmenter.

Les maladies cardiovasculaires en chiffres
Dans le monde, les maladies cardiovasculaires étaient en 1999 responsables d’un tiers des décès recensés.

Maladies cardiovasculaires : un combat mondial
En 1999, les maladies cardiovasculaires étaient mondialement responsables d’un tiers des décès recensés. Parmi eux, 78 % ont eu lieu dans les pays en voie de développement, chez qui les moyens de prévention sont quasi-inexistants. Affectant des individus au moment de leur vie où ils sont les plus indispensables, à la fois pour leur famille et pour la société, c’est un véritable fléau contre lequel gouvernements et associations comme l’Organisation mondiale de la Santé n’ont pas fini de lutter. Depuis quelques années, l’industrialisation et l’urbanisation croissante des pays en développement ont considérablement modifié les conditions de vie de leurs habitants. Pour le meilleur mais parfois pour le pire, leurs nouvelles habitudes alimentaires et une sédentarité croissante constituent autant de nouveaux facteurs de risques. Parallèlement, les moyens de lutte contre les maladies cardiovasculaires n’ont cessé de se perfectionner dans les pays industrialisés, creusant un fossé Nord-Sud plus profond encore.

Une personne sur cinq est hypertendue
Hors les maladies cardiaques ischémiques (plus de 7,2 millions de décès par an) et les accidents vasculaires cérébraux (4,6 millions de décès par an), certaines affections sont particulièrement répandues dans le monde comme l’hypertension artérielle, qui concerne une personne sur cinq.

Quant au tabagisme, il serait à lui seul responsable de 17 % des décès provoqués par les affections cardiovasculaires. Même s’ils ont des limites, hygiène de vie et traitements médicamenteux ont prouvé leur intérêt dans les pays développés pour limiter l’impact des maladies cardiovasculaires.
Ils devraient également être efficaces dans les nations en voie de développement, mais les caractéristiques démographiques de ces pays, le mode de vie de leurs habitants, font craindre que l’importance des maladies de l’appareil circulatoire reste bien longtemps fort élevée.

Palpitations : Quand consulter ?
Tout à coup, votre cœur se met à battre de façon irrégulière et accélérée ? Vous ressentez des palpitations ? Ce trouble du rythme du cœur peut correspondre à une fibrillation auriculaire. Vous devez consulter un cardiologue dans la journée ! Explications.

Trouble du rythme : mon cœur bat irrégulièrement et plus vite
Un cœur qui tout à coup se met à battre irrégulièrement, voire à provoquer comme des palpitations, indique très possiblement une fibrillation auriculaire. Ce terme médical désigne une activation anarchique des oreillettes. Sur le moment, ce trouble du rythme ne met pas en danger. En revanche, il témoigne d’un haut risque cardiovasculaire : hypertension, insuffisance cardiaque, diabète, maladie coronaire, etc. C’est pourquoi la survenue d’une fibrillation auriculaire doit être considérée comme un signal d’alerte et amener à consulter dans la journée un cardiologue afin de réaliser un bilan cardiovasculaire complet. Selon les résultats, un traitement curatif ou préventif pourra être mis en place afin soit de réduire la fibrillation auriculaire, soit de prévenir les complications cardiovasculaires.

En effet, si les oreillettes ne se contractent pas régulièrement, le sang risque de stagner, favorisant la formation d’un caillot sanguin. Libéré dans la circulation sanguine, celui-ci peut aller se loger dans le cerveau, provoquant une embolie avec un accident ischémique transitoire, voire un véritable accident vasculaire cérébral (AVC). Les AVC sont souvent reconnus grâce à leurs symptômes (engourdissement soudain, perte de sensibilité du visage, d’un bras, d’une jambe ou d’un côté du corps, vertige, troubles de l’élocution, de la vue, maux de tête intenses, vomissements…). La fibrillation auriculaire est donc un signal d’alerte important.

Les autres troubles du rythme
La fibrillation auriculaire n’est pas la seule maladie responsable de palpitations et d’accélération du rythme du cœur. Tout changement du rythme cardiaque (pouls) doit vous amener à consulter votre médecin.

Apprenez à respirer avec le cœur !
Nous savons tous que nous respirons avec nos poumons… La cohérence cardiaque se propose de nous apprendre à respirer avec notre cœur afin de retrouver un meilleur état de santé général. Essayez cette méthode ! Elle est particulièrement bénéfique pour notre cœur.

Voilà, la cohérence est établie
Grâce à ces quelques temps de relaxation centrée sur le souffle et le cœur, les chercheurs de l’Institut Heartmath ont montré qu’il était possible d’obtenir rapidement une cohérence cardiaque. La notion de cohérence est en lien avec celle de variabilité du cœur, qui désigne l’intervalle entre deux battements du cœur, indépendamment de toute notion de fréquence cardiaque. La variabilité est parfaitement normale. Elle se traduit, lorsqu’on la mesure grâce à un enregistrement spécifique, par une courbe, qui habituellement est d’allure irrégulière, ponctuée par des alternances d’emballements et de freinages intempestifs. A l’issue d’une séance de relaxation, la courbe change d’allure ; elle dessine une belle sinusoïde, passant avec régularité, d’une période d’accélération à une période de ralentissement ; elle est sortie du chaos pour devenir cohérente.

Les bienfaits de la cohérence
De nombreux enregistrements de la variabilité cardiaque montrent que lorsque l’on évoque des soucis, la courbe devient plus heurtée et en cas de colère, elle prend une allure explosive. Si au contraire, on se concentre sur des souvenirs agréables, la courbe ondule avec régularité. La cohérence cardiaque est donc bien un excellent indice de l’état de stress. Des travaux plus approfondis ont montré qu’elle contribue à réguler et à synchroniser d’autres rythmes physiologiques comme la tension artérielle et la respiration, ce qui est particulièrement bénéfique en cas de fragilité cardiaque. De fait, cette méthode est utilisée par exemple auprès de groupe de patients souffrant de maladie cardiaque. Les études montrent que le bénéfice sur les symptômes de la maladie, mais aussi sur la dépression ou l’anxiété, est presque constant.
Quand un cardiaque prend l’avion…

Attention aux dents et gencives du cardiaque
Des bactéries augmentent le risque d’infarctus.

source: Elmoudjahid
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